de ce qui nous occupait avant
Suspendus comme des papillons,
nous voletons sans savoir où nous allons
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Nous
Eux
La frontière qui nous sépare, nous lie aussi.
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Le saule pleureur au bout de l'île,
Ce matin moi aussi au bout du fil.
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La maison abandonnée
se réveille seule.
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j'aimerai presque être malade pour être en accord avec ce temps qui me dépasse.




J'aime bien vos haïkus illustrés ou non! Même qu'ils sont parfois bien noirs... Je vous embrasse, Gabriella
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